Oumou Kalsoum : ” Le chômage n’est pas une fatalité.”

Au Sénégal, Oumou Kalsoum, démeure l’une des rares femmes en calligraphie islamique qui exploitent leur talent pour sa passion.

Ce travail permet à cette brave et courageuse femme Sénegalaise de supprimer les stresses du chômage .

” J’ai été emploie dans une poissonnerie. Et après quelques mois, j’ai perdu mon boulot. Et pour n’est pas rester au chômage, j’ai décidé d’entreprendre dans le domaine de l’islamique. Et j’ai commencé à m’exercer jusqu’à ce je suis dévenue calligraphe à part entière.

Entant que femme, les difficultés à exercer ce métier c’est le manque de personnel, les gens qui font le même métier que moi. Et surtout la difficulté à monter en hauteur en cas de déplacement dans la mosquée, bâtiments et autres. ”

Explique-t- elle.

Cette autodidacte en calligraphie islamique pense qu’elle est la seule femme d’exercer ce métier dans ce pays d’Afrique, bordé par l’océan Atlantique à l’ouest, la Mauritanie au nord-est, le Mali à l’est, la Guinée au sud-est et la Guinée-Bissau au sud .

” Nous ne sommes pas nombreuses dans ce métier, je pense que je suis la seule. Les gens ont souvent du mal à croire que c’est une femme qui a fait cela, surtout les décorations de mosquée et autres. Je ressens beaucoup de fierté et d’honneur de représenter les femmes.”

Ajoute- t- elle.

Notons que , Oumou Kalsoum Tambédou désire un jour encandrer les femmes et enfants qui souhaiteraient apprendre ce métier de la caligraphie islamique . Et aussi créer sa propre galerie ,afin de limiter le taux de chômage et faire connaitre son travail partout dans le monde.

RédacWide